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CULTURE/CINEMA : Les Baftas 2014

 
CULTURE/CINEMA : Les Baftas 2014  
 
BAFTAS 2014 : Sans surprise, Gravity et 12 Years a slave se distinguent

La cérémonie des BAFTAs a eu lieu dimanche 16 février à Londres. Les deux grands favoris, Gravity et 12 Years a Slave, ont été les grands gagnants de la soirée.
Les Baftas peuvent être un indicateur des films qui vont gagner aux Oscars deux semaines plus tard. L'an dernier, Argo a remporté le meilleur film, Daniel Day-Lewis a remporté le meilleur acteur, et Waltz
et Anne Hathaway, les seconds rôles. Ils sont tous partis pour gagner des Oscars sauf surprise.
Et cette année les nominés au Bafta dimanche soir sont Matt Damon, Michael Fassbender,
Paul Greengrass, Sally Hawkins, Martin Scorsese et Oprah Winfrey.

Mais c'est le prince William !!!!
CULTURE/CINEMA : Les Baftas 2014

Depuis la cérémonie des Golden Globes en janvier dernier, Gravity d'Alfonso Cuaron et 12 Years a Slave de Steve McQueen s'annonçaient comme les grands favoris des BAFTAs et des Oscars. S'il va falloir attendre jusqu'au 2 mars prochain pour connaître le nombre de statuettes américaines que ces deux films vont remporter, on peut déjà commencer les comptes. Dimanche, à Londres, les deux long-métrages sont repartis avec les trophées les plus prestigieux des BAFTAS, les Oscars britanniques.

Attendu, Gravity est incontestablement le grand vainqueur de la soirée en nombre avec six trophées
en main : meilleur film britannique (en partie produit au Royaume-Uni, il a pu concourir
dans cette catégorie), meilleur son, meilleur photo, meilleurs effets spéciaux,
meilleure musique et meilleur réalisateur pour Alfonso Cuaron.
 
 
Le tapis rouge : les stars se prêtent au jeu

CULTURE/CINEMA : Les Baftas 2014
 Un red carpet aux allures de super-production où l'on a vu également poser Tom Hanks, Leonardo DiCaprio ou encore la troublante UmaThurman, la française Léa Seydoux ainsi que Opray Winfrey la milliardaire.

Et les gagnants sont :
CULTURE/CINEMA : Les Baftas 2014

Sans surprise toujours, c'est la grande favorite Cate Blanchett qui a remporté le BAFTA de la Meilleure Actrice. La comédienne australienne a fait l'unanimité pour sa prestation dans le film Blue Jasmine,
de Woody Allen. Elle y incarne une bourgeoise mondaine dont la vie vole soudainement en éclat.
Névrosée et dépressive, elle part s'installer chez sa s½ur à San Francisco. Un rôle sur mesure
pour l'actrice, déjà lauréate d'un Golden Globe en janvier dernier. Elle a dédié son trophée à
l'acteur Philip Seymour Hoffman, décédé à 46 ans d'une overdose, début février à New York.
Saluant son "talent monumental" et sa "générosité", l'actrice a jugé qu'il avait
passé sa carrière "à élever le niveau" et qu'il fallait continuer: "Phil, mon pote,
c'est pour toi, espèce de salaud. J'espère que tu es fier", a-t-elle lancé.


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De son côté, Jennifer Lawrence a obtenu le BAFTA de la Meilleure actrice dans un second rôle pour son personnage, là aussi très névrosé, de femme trompée dans American Bluff de David O.Russell. Le
film de l'Américain a également empoché les trophées de Meilleurs maquillages et Meilleur
scénario original. Il a d'ailleurs dédié ce dernier à ses comédiens. « J'écris pour eux, ils
m'inspirent, ils rendent mon écriture meilleure grâce à leur humanité » a-t-il déclaré.

Enfin, nommé dans quatre catégories, celui qui faisait figure d'outsider, le Philomena de Stephen
Frears, a tout de même remporté le BAFTA du Meilleur scénario adapté pour cette
histoire vraie d'une mère irlandaise ayant passé la plus grande partie de sa vie à la
recherche d'un fils qui lui avait été enlevé par des bonnes s½urs.


CULTURE/CINEMA : Les Baftas 2014


Cependant, 12 Years a Slave est le film qui a remporté sans doute les deux récompenses les plus importantes. Ainsi, le londonien Chiwetel Ejiofor, qui incarne le héros Solomon Northup, est
reparti avec le BAFTA du Meilleur Acteur. Très ému, il a tenu à rendre hommage à
son réalisateur, Steve McQueen, en le remerciant pour son investissement sur
ce projet et en lui dédiant son trophée. « Je vais le garder, c'est le
genre de type que je suis, mais il est à toi » a lancé

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l'acteur en direction du réalisateur. Ce dernier est lui aussi monté sur scène pour aller chercher
la statuette du Meilleur film. Militant jusqu'au bout, le cinéaste en a profité pour faire
passer un message. « Il y a 21 millions d'esclaves à l'heure où je vous parle.
J'espère juste que dans 150 ans, notre ambivalence ne permettra pas
à un autre réalisateur de faire ce film » a-t-il déclaré.

Les grands perdants, les oubliés de la soirée sont : Bradley
Cooper, Matt Damon et Michael Fassbender

Alors qu'ils avaient fait forte impression, respectivement dans American Bluff, Ma Vie avec Liberace et
12 Years a slave, Bradley Cooper, Matt Damon et Michael Fassbender ont cependant vu le trophée de
Meilleur acteur dans un second rôle leur filer sous le nez. Ce dernier a été remis à Barkhad Abdi,
l'acteur somalo-américain grimé en pirate kidnappeur dans Captain Phillips de Paul Greengrass.

Enfin, nommé dans quatre catégories, celui qui faisait figure d'outsider, le Philomena de Stephen
Frears, a tout de même remporté le BAFTA du Meilleur scénario adapté pour cette
histoire vraie d'une mère irlandaise ayant passé la plus grande partie de sa vie à la
recherche d'un fils qui lui avait été enlevé par des bonnes s½urs.

Les hommages pour leurs contributions au cinéma

CULTURE/CINEMA : Les Baftas 2014

La cérémonie a également rendu hommage à l'actrice britannique Helen Mirren et au
réalisateur Peter Greenaway pour sa contribution exceptionnelle au cinéma
britanique. Tous deux ont reçu des BAFTAS d'honneur.
 
LE PALMARES

Meilleur film : 12 Years a Slave de Steve McQueen
Meilleure actrice : Cate Blanchett dans Blue Jasmine
Meilleur acteur : Chiwetel Ejiofor dans 12 Years a Slave
Meilleur réalisateur : Alfonso Cuarón pour Gravity
Meilleur second rôle masculin : Barkhad Abdi dans Capitaine Phillips
Meilleur second rôle féminin : Jennifer Lawrence dans American Bluff
Meilleur scénario original : Eric Warren Singer et David O. Russell pour American Bluff
Meilleur scénario adapté : Steve Coogan et Jeff Pope pour Philomena
Meilleure photographie : Emmanuel Lubezki pour Gravity
Meilleur film britannique : Gravity
Meilleure musique originale : Steven Price pour Gravity
Meilleur son : Gravity
Meilleurs costumes : Gatsby le Magnifique
Meilleurs coiffures/maquillage : American Bluff
Meilleur montage : Rush de Ron Howard
Meilleur film d'animation : La Reine des neiges
Trophée de l'étoile montante : Will Poulter 
 
A l'année prochaine peut-être.

QUE PENSEZ-VOUS DES RÉSULTATS ET DE LA CÉRÉMONIE ?




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#Posté le lundi 17 février 2014 16:59

Modifié le mercredi 19 février 2014 20:39

CINEMA/CULTURE : 12 Years a Slave : Un film Excellent, Salutaire, Sadique et Déroutant

 
 
CINEMA/CULTURE : 12 Years a Slave : Un film Excellent, Salutaire, Sadique et Déroutant

Synopsis

Les États-Unis, quelques années avant la guerre de Sécession. Solomon Northup, jeune homme noir originaire de l'État de New York avec sa famille qui travaille comme charpentier et
 violoniste, est enlevé et vendu comme esclave. Face à la cruauté d'un propriétaire
de plantation de coton qui est convaincu que maltraiter les esclaves est autorisé
 par la Bible, Solomon se bat pour rester en vie et garder sa dignité.
 Douze ans plus tard, il va croiser un abolitionniste
canadien et cette rencontre va changer sa vie.
 
 

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Le vent se lève, l'esclavage : une infamie qui proie les corps 

 
Le film de l'année, il est peut-être là. L'excellent Chiwetel Ejiflor (Amistad, American Gangster, 2012...) fait oublier la présence de Brad Pitt grâce à une performance de haut niveau dans le rôle de Solomon quelques années avant la guerre de Sécession. Âmes sensibles s'abstenir. Steve
McQueen y va franchement dans la description de la violence de l'époque.
Aux US, des rumeurs d'Oscar se font entendre.
 
 CINEMA/CULTURE : 12 Years a Slave : Un film Excellent, Salutaire, Sadique et Déroutant
Film 12 years a slave

 
Après Django déchaîné, de Quentin « fuck the history » Tarantino, et Lincoln, de Steven « God bless America » Spielberg, c'est au tour de Steve McQueen, artiste plasticien britannique passé avec maestria au cinéma et descendant par ailleurs d'une famille antillaise, de réaliser un film touchant à l'esclavage.
 
Il ne fallait pas être grand clerc pour se douter que l'affaire tournerait chez lui autrement que chez ses illustres prédécesseurs. De fait, 12 Years a Slave n'a rien à  voir avec un western spaghetti, ce n'est pas davantage un film à la gloire de la démocratie américaine. Son propos est plus âpre et plus réaliste que fabulesque ou apologétique. En d'autres termes, McQueen a fait le voyage aux Etats-Unis avec ses
armes personnelles, dont on sait que pour être moins ludiques que celles de maître Quentin et moins romantiques que celles de maître Steven, elles n'en sont pas moins efficaces. De la grève de la
 faim d'un prisonnier politique de l'IRA (Hunger, 2008) à la chronique sexuelle d'un yuppie
 new-yorkais (Shame, 2011), McQueen fait toujours du corps de ses personnages, de
 l'épreuve charnelle dont ils sont porteurs, l'enjeu intellectuel et moral de ses films.
 Il fait partie de ces réalisateurs aux yeux desquels les émotions et les
 stigmates qui affectent le corps d'un personnage valent, en
intensité et en puissance, tous les débats d'idées.
 
 
Une pléiade de stars
 
Benedict Cumberbatch, Paul Dano, Brad Pitt et Paul Giamatti ont accepté des rôles peu reluisants, mais la palme revient à Michael Fassbender, acteur fétiche du réalisateur, terrifiant en maître dévoré de désir pour une jeune esclave. Les malheurs de la pauvrette déchirée entre la concupiscence de l'homme et la jalousie de son épouse débouche sur l'une des scènes les plus éprouvantes du film. «L'idée n'était
pas de dégoûter, insiste Steve McQueen, mais de montrer comment les choses se
déroulaient vraiment. S'il existe beaucoup de films sur l'esclavage, je souhaitais
 que le mien ne soit pas vu comme un film de genre». C'est sans doute ce qui
explique l'accueil triomphal de cette ½uvre radicale d'une puissance rare.
 
 
CINEMA/CULTURE : 12 Years a Slave : Un film Excellent, Salutaire, Sadique et Déroutant
 
 
Un film radical sur L'esclavage
 
Cette conception s'applique a fortiori à l'idée centrale de son troisième long-métrage : montrer l'esclavage tel qu'il aliène d'abord le corps d'un homme, c'est-à-dire tel qu'il le prive de liberté, tel qu'il le stigmatise, tel qu'il l'humilie, tel qu'il le déchoit en un mot de son humanité. Simplicité biblique, si l'on veut, de ce projet, sauf qu'à bien chercher dans l'histoire du cinéma aucun film ne le mène réellement à bien
tant il est radical. Voici donc le pari difficile de Steve McQueen, qui consiste à retenir le
spectateur durant plus de deux heures au plus près d'un héros incessamment
martyrisé, au plus près des sévices qu'on lui inflige, et partant au risque de
 l'amertume qui ne manquera pas de saisir le public à la vision de ce
spectacle qui fait honte à la civilisation occidentale.
Il y a ici un évident cousinage avec le projet, hélas
 mal compris et mal reçu, d'Abdellatif Kechiche dans La
Vénus noire (2009), qui tenait tout entier sur la corde raide
de l'exhibition et du voyeurisme, rendant délibérément intenable la position
du spectateur. Choisissant un sujet qui est à la fois hors norme mais partageable par tous.
 
 
CINEMA/CULTURE : 12 Years a Slave : Un film Excellent, Salutaire, Sadique et Déroutant



Briser un tabou
 
Steve McQueen est connu pour repousser les limites du tabou dans ses films. Il avait déjà montré Michael Fassbender dans la peau d'un accro au sexe dans Shame, sorti en 2011. «Je voulais voir cette histoire portée en film. C'est aussi simple que ça.» s'est-il justifié à propos de 12 Years A Slave, ajoutant que
 la dure réalité de l'esclavage n'était que rarement portée à l'écran. Brad Pitt, qui joue dans le film
et en est producteur, a quant à lui déclaré: «Steve a été le premier à demander pourquoi il n'existe
 pas plus de films sur l'histoire esclavagiste américaine. Il a fallu un Britannique pour répondre
 à cette question.» Au casting, on retrouve également Benedict Cumberbatch (Star Trek,
Le 5e Pouvoir) et Paul Dano (Little Miss Sunshine, Elle S'appelle Ruby).

 
CINEMA/CULTURE : 12 Years a Slave : Un film Excellent, Salutaire, Sadique et Déroutant
 
 
Douze années de captivité dans la Louisiane esclavagiste
 
Ce sujet, c'est l'adaptation des Mémoires de Solomon Northup, un homme noir de 33 ans vivant libre à Saratoga, dans l'Etat abolitionniste de New York, qui se fait enlever en avril 1841 par des « braconniers » sudistes et passe douze années de sa vie en captivité dans la Louisiane esclavagiste, avant de faire
reconnaitre son identité. Belle intelligence manifestée par le choix de ce récit particulier, qui voit
un homme libre, bon citoyen et père de famille aimant, tomber du jour au lendemain en déchéance,
 réduit du jour au lendemain à un statut équivalant à celui d'une bête de somme, victime
d'un système qui ne se justifie que par la ségrégation. C'est un peu l'histoire des
Noirs d'Amérique prise dans la vision de Franz Kafka : la soudaine et
péremptoire privation de votre liberté, l'implacable, cruelle et
 absurde logique d'un système conçu pour vous broyer.
Le cinéaste fait ainsi de cette expérience une donnée 

d'un récit mettant en scène une histoire aussi singulière que
 l'esclavage. Il rend aussi ce rôle tout bonnement envisageable, car on voit mal
quel acteur, au nom de quel savoir ou de quelle intuition, pourrait « jouer » une atteinte
 aussi radicale à l'intégrité humaine que celle d'une vie passée en esclavage. Un plan-tableau ouvre
le film, qui présente le héros immobile sur fond de champ de coton, parmi un groupe d'esclaves harangué par un contremaître mulâtre. Quelques scènes encore, difficilement identifiables, engluées dans la nuit et dans le silence de la servilité, avant qu'un brusque retour en arrière n'expose le destin de cet homme.
 
 
 
Bande annonce du film 12 years a slave

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Chronique d'une survie en milieu hostile
 
Saratoga, 1843, et le voici doté d'un nom, Solomon Northup, d'une famille, une femme et deux enfants, d'un métier, violoniste. Et puis deux saltimbanques qui se présentent, lui offrent un beau contrat pour une tournée dans un cirque, l'enivrent puis le déportent sans autre forme de procès jusqu'au premier port sudiste, où on le vend comme un ballot. L'enfer ouvre ses portes. Douze ans réduits à deux heures, songeons que McQueen nous fait un prix d'ami. Elles passent néanmoins douloureusement, car le
film est la chronique pointilleuse d'une survie en milieu hostile. Tout y est danger mortel,
prétexte à châtiments et humiliations. Le rendement quotidien de la cueillette, la
protestation de la dignité, la marque d'intelligence, la tentative de fuite : tout y
 est dilacéré, sous les crocs des chiens, le chanvre de la corde, la mèche du
fouet. En l'esclave, c'est l'homme qui doit être brisé, par tous moyens
 utiles, en séparant à jamais les mères des enfants, en violant les
 femmes, en détournant les écritures saintes pour
 justifier la hiérarchisation raciale.


 CINEMA/CULTURE : 12 Years a Slave : Un film Excellent, Salutaire, Sadique et Déroutant
 
 
 

Film anglo-américain de Steve McQueen. Avec Chiwetel Ejiofor, Michael Fassbender, Benedict Cumberbatch, Paul Dano, Paul Giamatti (2h 13).
 
CINEMA/CULTURE : 12 Years a Slave : Un film Excellent, Salutaire, Sadique et Déroutant
 
 
 
BON FILM !!!!!!!!!!
 
 
QU'EN PENSEZ-VOUS ?
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#Posté le mercredi 22 janvier 2014 09:22

Modifié le mercredi 22 janvier 2014 18:51

CINEMA/CULTURE : Le loup de Wall Street "Epoustoufflant, Enorme, Magistral"

 
 CINEMA/CULTURE : Le loup de Wall Street  "Epoustoufflant, Enorme, Magistral"
CINEMA/CULTURE : Le loup de Wall Street  "Epoustoufflant, Enorme, Magistral"
 
DiCaprio et McConaughey en tête-à-tête « Le Loup de Wall Street » :
Les Misères des courtiers.
 
Oyez, oyez ! Le grand Scorsese est de retour ! C'est « la » bonne nouvelle de cette fin d'année : le réalisateur de films aussi remarquables que Mean Streets, Les Affranchis ou Casino n'en a pas fini avec son exploration sans concession du rêve américain. Le Loup de Wall Street,
son nouvel opus, est à sa manière une sorte de quintessence des obsessions
« scorsesiennes ». On y retrouve la plupart de ses thèmes favoris :
l'argent, le sexe et la drogue, mais aussi, plus enfouis qu'à
 
l'accoutumée, la souffrance, le péché et la mort.
« Je suis les films que je fais », dit parfois Scorsese. A en juger par Le Loup de Wall Street, sa folie reste sa raison d'être. Celle d'un cinéaste amoureux fou du cinéma, hanté par sa
propre désespérance. Une désespérance qui le pousse, pour notre plus grand
plaisir, à réaliser d'excellents films
 
CINEMA/CULTURE : Le loup de Wall Street  "Epoustoufflant, Enorme, Magistral"Affiche officielle du film en français
 
 
Synopsis

L'argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main,
et les autorités n'avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie
était devenue complètement inutile. Trop n'était jamais assez...
 
Le film raconte l'histoire – vraie – de l'ascension vertigineuse de Jordan Belfort, petit courtier chez LF Rothschild en 1987, star de Wall Street et de tous ses excès fin 1993. un courtier en bourse qui a passé 20 mois en prison pour avoir refusé de participer à une gigantesque arnaque, dévoilant la corruption et l'implication de la pègre qui sévit à Wall Street et
au-delà des Etats-Unis. Entre-temps, en 1989, il aura créé Stratton Oakmont,
une firme de courtage qui lui valut, moyennant des méthodes que la
plus élémentaire des morales réprouve, d'amasser en très
peu de temps une fortune considérable.
 
D'emblée, voilà le spectateur plongé dans
l'univers des codes cinématographiques de Scorsese.
Une narration en voix off – procédé qui fit merveille dans
des films comme Les Affranchis, Le Temps de l'innocence ou Casino.

Comme dans chaque grand-messe « scorsesienne », nulle échappatoire.
Toute victoire porte en germe une défaite. La réussite appelle la chute
aussi sûrement que le crime appelle le châtiment. On nommera cela comme
on veut : biopic, fable, thriller moral, Satyricon financier..., peu importe. L'essentiel est
ailleurs, dans les affres de la culpabilité permanente à l'intérieur de laquelle Scorsese se débat.
 
Vidéo de la bande annonce

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Une comédie satirique

D'abord vendu comme un thriller, puis comme un drame, The Wolf of Wall Street, sera finalement une comédie satirique qui s'attaque au Wall Street des années 1990. Le
réalisateur sort ce long-métrage deux ans après Hugo Cabret et sa parenthèse
jeunesse. Leonardo DiCaprio l'accompagne pour la cinquième fois,
après Shutter Island ou encore Les infiltrés.
 
Le monde impitoyable de la bourse
Leonardo DiCaprio endosse le costume de ce personnage enivré par l'argent. La vidéo annonce d'ailleurs la couleur : "Avoir plus, n'est jamais assez" ("More...is never enough").

 
Un extrait du film

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Une descente aux enfers mise en scène

Le Loup de Wall Streetne joue pas avec ce degré de parano. La paranoïa est là, bien sûr, mais ce n'est pas ça l'important. Non, ce qui compte c'est la tristesse, la morne tristesse et le
sentiment de désarroi, d'impuissance, dans lequel le film laisse son personnage principal au moment où il arrête la dope - et avec elle les montagnes de conneries en affaire et avec les femmes. Soudain, il décide que la fête doit finir et le héros de se retrouver face
à la réalité : ce truc qui l'effraie. Le rythme n'est plus le même.
 
Quand on sait le prix que Scorsese a payé à la drogue, on se dit que cette soit disant comédie (comme si à 70 ans on faisait un film de presque trois heures juste pour rire entre potes) est
d'une grande noirceur. Qu'il faut beaucoup de rires et de bruits de verres pilés pour
avouer, dans le fracas, que la vie sans drogue, sans adrénaline permanente, est
boring à mourir. Quelque chose d'assez dur à formuler en
public, et pas seulement aux USA.
 
CINEMA/CULTURE : Le loup de Wall Street  "Epoustoufflant, Enorme, Magistral"
Les scènes du film 
 
 Il faut être Scorsese, un mec dont on sait qu'à une certaine époque il aurait pu tenir les rênes
d'Hollywood si sa toxicomanie avérée n'avait pas fait peur à tout le monde,
pour réussir à dire ce film sous cette forme.
 
On sait aujourd'hui, face à ce récit qui ne cesse de raconter l'aventure avortée du Nouvel Hollywood sous d'autres masques, qu'il s'en fout. Qu'au final, il préfère sa vie, aussi
chaotique fut-elle, que celle, bien rangée d'un Henry Hathaway. Scorsese est un
peu comme le petit Loup de Wall Street. Au final, il ne regrette
rien. Mais alors rien du tout.
 
Sur cette 1ère image, Jordan Belfort (Leonardo di Caprio) et Mark Hanna (Matthew McConaughey) sont en tête à tête et ils abordent un sujet plutôt intime : la masturbation.
CINEMA/CULTURE : Le loup de Wall Street  "Epoustoufflant, Enorme, Magistral"
Les images du film

5e collaboration entre DiCaprio et Scorsese

Réalisé par Martin Scorsese, Le Loup de Wall Street est inspiré du livre du même nom, écrit par l'ancien trader Jordan Belfort. Il y raconte la vie de débauche qu'il menait lorsqu'il côtoyait
les milieux financiers pendant les années 1980. Alors oui, sans doute, Scorsese rejoue-t-il  avec lui la partition qu'il avait écrite avec Robert De Niro sur trois décennies. Mais encore faudrait-il regarder ce que dit dans le détail ce film sur certains grands sujets scorsesiens.
La drogue par exemple, qui est, dans sa façon de se confondre avec la puissance et
le pouvoir le grand motif du film. Ce n'est pas la première fois chez lui, bien sûr.

Si Leonardo DiCaprio collabore pour la cinquième fois avec le réalisateur de Taxi Driver,
ce sera la première fois pour le Français Jean Dujardin, dont
le nom figure au générique du film.
 
CINEMA/CULTURE : Le loup de Wall Street  "Epoustoufflant, Enorme, Magistral"
Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio
 

Les critiques

"Le loup de Wall Street", le nouveau long métrage de Martin Scorsese, en salles ce
mercredi, est une adaptation de l'autobiographie de Jordan Belfort, le plus gros
escroc que Wall Street ait connu avant Madoff. Alors verdict ?

Le Loup de Wall Street, le nouveau long métrage de Matin Scorsese, scénarisé par Terence Winter (les séries Les Soprano, Boardwalk Empire), s'inspire des mémoires de Jordan Belfort, courtier dans les années 90. Multimillionnaire, il a succombé à différents excès (drogue, alcool, sexe, manipulations frauduleuses) avant d'être prisonnier de ses vices. A travers le parcours de ce requin de la finance (Leonardo DiCaprio) impérial) devenu un temps l'un des hommes les plus riches de New York, Martin Scorsese orchestre dans le temple de la spéculation financière une satire terrassante, une parabole sur une société d'apparences, de performances, où tout fonctionne sur des velléités matérielles, des rapports de force, de mauvaises plaisanteries. Alors que valent les trois heures du dernier monument de Martin Scorsese ?
 
Comme désormais tout les films avec Leonardo DiCaprio, Le Loup de Wall Street est très attendu en cette fin d'année 2013. Sa sortie en France est le jour de Noël.
 
Bon film !!!!!
CINEMA/CULTURE : Le loup de Wall Street  "Epoustoufflant, Enorme, Magistral"
Et vous ? Qu'en pensez-vous ?
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#Posté le lundi 23 décembre 2013 17:54

Modifié le mardi 24 décembre 2013 11:08

CINEMA/CULTURE : Mandela - Un long chemin vers la liberté"






Mandela "The film"

CINEMA/CULTURE : Mandela - Un long chemin vers la liberté"


Un prétendant aux Oscars

Dans son film, il n'a pas voulu seulement montrer le leader politique qu'était Mandela,
mais il "souhaitait parler du Mandela intime". S'il célèbre la vie de "Madiba",
Mandela : un long chemin vers la liberté fait aussi la part belle aux
Sud-Africains eux-mêmes, nombreux à l'écran dans de
spectaculaires scènes de foule qui font revivre les
violences qui ont marqué l'Apartheid.
 
Le producteur a gardé la primeur au
public sud-africain qui a très rapidement propulsé
le film, produit et réalisé dans le pays, en tête du box-office national
quelques jours seulement après sa sortie. Il a d'ailleurs réalisé la plus grosse
recette le week-end dernier, ont fait savoir le producteur et la Fondation nationale du cinéma.
 
 
 

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Aux États-Unis où il est déjà sorti, le biopic a remporté à New York et Los Angeles, par exemple, la recette moyenne par écran "la plus élevée du week-end",
selon la maison de production. Distribué par les frères Weinstein,
il est un concurrent sérieux dans la course aux Oscars,
dont la cérémonie se déroulera le 2 mars 2014.


 

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  Le Synopsis 

MANDELA : UN LONG CHEMIN VERS LA LIBERTÉ retrace le parcours exceptionnel de Nelson Mandela jusqu'à son élection. Né et élevé à la campagne, dans la famille royale des
Thembus, Nelson Mandela gagne Johannesburg où il va ouvrir le premier cabinet
d'avocats noirs et devenir un des leaders de l'ANC. Son arrestation
le sépare de Winnie, l'amour de sa vie qui le soutiendra pendant
ses longues années de captivité et deviendra à son
tour une des figures actives de l'ANC.

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À travers la clandestinité, la lutte armée,
la prison, sa vie se confond plus que jamais avec son
combat pour la liberté, lui conférant peu à peu une dimension
mythique, faisant de lui l'homme clef pour sortir son pays,
l'Afrique du Sud, de l'impasse où l'ont enfermé quarante ans d'apartheid.
Il sera le premier Président de la République d'Afrique du Sud élu démocratiquement.
 

 

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Les avants-premières

«Mandela» a été projeté en avant-première à Paris, lors d'une grande soirée à l'UNESCO. Le film est également sorti dans deux villes américaines le weekend dernier ( à New York
et Los Angeles) et a remporté la recette moyenne par écran «la plus élevée
du week-end», selon la maison de production du film. Au vu de ses
premiers résultats, son avenir commercial
s'annonce prometteur.


C'est par l'intermédiaire d'une amie de Mandela que le producteur a pu convaincre le leader sud-africain de laisser adapter son autobiographie à l'écran. «Tout ce que je pouvais
promettre à Mandela c'était mon engagement total. Je voulais faire un film dont
il soit fier. Il fallait se montrer à la hauteur du défi.». Pari réussi car ce
«Mandela, un long voyage vers la liberté» est un excellent film qui a
aussi le mérite de ne pas glorifier à l'extrême le combattant de
la liberté, en montrant notamment qu'il était un redoutable
séducteur. Jeudi soir, à Londres, s'est déroulé la première
du film alors que l'on apprenait la mort de Mandela.

 

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Les détails


Durant 2h 25, on y découvre Nelson Mandela ouvrir son premier cabinet d'avocats noirs, puis devenir l'un des jeunes leaders de l'ANC (le Congrès National Africain), passant ensuite
de la résistance pacifique à la la lutte dans la clandestinité pendant 17 mois,
son arrestation et son emprisonnement durant 27 ans
qui le séparent de sa femme Winnie.

Cette partie-là du film est sans doute la plus impressionnante car on y voit la façon dont Mandela et ses amis activistes de l'ANC étaient traités comme des esclaves par
l'administration de l'île de Robben Island où il séjourna 18 ans. Suivent
sa libération le 11 février 1990, la fin de l'apartheid, et son
élection à la présidence de la République d'Afrique du Sud.

 

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Les critiques cinéma
 
20 minutes "Deux acteurs touchés par la grâce"
La croix "Émouvant et magnifique"

CINEMA/CULTURE : Mandela - Un long chemin vers la liberté"

Métro "Un biopic émouvant et nécessaire"
Le figaro "Une performance éblouissante, un film porté par un souffle épique" 

Que pensez-vous de ce biopic ?



Bon film !!!!



Tags : Nelson Mandela, Boipic, Cinéma, Culture, idris elba, Soweto, Afrique du Sud, ANC-Afrique du sud, Madiba, Hommage, Naomie Harris, Justin Chadwick, Divertissement!, Loisirs, Film mercredi, Prisonnier politique, Prison, Prix nobel, Nelson Madela biopic, Mandela : Un long chemin vers la liberté
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#Posté le mercredi 18 décembre 2013 00:00

Modifié le vendredi 20 décembre 2013 14:34

CINEMA/CULTURE : Zulu, tout simplement "Spectaculaire"


 
CINEMA/CULTURE : Zulu, tout simplement  "Spectaculaire"


Synopsis intriguant



Dans une Afrique du Sud encore hantée par l'apartheid, deux policiers, un noir, un blanc, pourchassent le meurtrier sauvage d'une jeune adolescente. Des Townships de Capetown aux luxueuses villas du bord de mer, cette enquête va bouleverser la vie des deux hommes et les contraindre à affronter leurs démons intérieurs.
"Zulu" plonge dans une Afrique du sud pauvre minée par la drogue, la violence et la prostitution. L'Américain Forest whitaker et le Britannique Orlando Bloom, entourés d'une d'acteurs sud-africains recrutés en partie dans des gangs locaux, incarnent deux policiers amis poursuivant le meurtrier d'une jeune fille à Cape Town.
 
 
 
Vidéo de la bande annonce

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Ce film, d'une noirceur totale, ne se démonte pas et fait montre de savoir-faire et d'efficacité, générant même de marquants éclairs de violence. Orlando Bloom et surtout Forest Whitaker s'en tirent très honorablement, transcendant des personnages archétypaux.
 
Cette justesse de point de vue sur une société inégalitaire s'adjoint le jeu toujours impeccable de Forrest Whitaker. Grand corps malléable (il s'est particulièrement affiné pour le rôle), il navigue d'un film à l'autre, en semblant se réinventer sans cesse.
 
 
Voici 5 raisons d'aller voir Zulu, LE film :
 
1- Un casting d'exception
2- L'adaptation du film avec justesse
3- Sélectionné à Cannes
4- Le premier film Français d'Orlando Bloom
5- Un synopsis intrigant
 
CINEMA/CULTURE : Zulu, tout simplement  "Spectaculaire" 
 

 Affiche du filmCINEMA/CULTURE : Zulu, tout simplement  "Spectaculaire"
 
Zulu : un extrait du film 1

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Cette justesse de point de vue sur une société inégalitaire s'adjoint le jeu toujours impeccable de Forest Whitaker. Grand corps malléable (il s'est particulièrement affiné pour le rôle), il navigue d'un film à l'autre, en semblant se réinventer sans cesse.

Zulu : extrait du film 2

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CINEMA/CULTURE : Zulu, tout simplement  "Spectaculaire"
Tags : Zulu, Forest Whitaker, Orlando Bloom., Aparteid, Afrique du Sud, Cinéma, Culture
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#Posté le mardi 03 décembre 2013 20:37

Modifié le samedi 07 décembre 2013 02:43

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